
Portaits
Dessins de José Corréa
Premiers portraits de Ferré, fin des années soixante.
Tout était permis... Le temps des "idoles". Le Che,
Rimbaud, Ferré, graffitis sur lambeaux de révolution.
Je croquais tout ce qui "dépassait". Naïf... Avec le temps, mon trait s'est assuré, pas mes certitudes...
Aujourd'hui chaque nouveau portrait de Ferré me terrifie et m'excite. Toujours à la recherche d'une certaine fulgurance graphique et émotionnelle. Saisir cette avalanche blanche, cette grande marée... Croire un instant pouvoir m'approcher de "Il n' y a plus rien"...
Mathieu Ferré, Alain Fournier, Jacques Layani et Joan-Pau Verdier m'ont accompagné.